HORSE-WHISPERER (L’Homme qui murmurait à l’oreille des chevaux)

Séquence 1° contact avec le cheval.

Deux pôles relationnels sont présents dans cette séquence: l’homme face au cheval et les deux enfants face à face. La relation de l’Homme (Tom Booker joué par Robert Redford) au cheval est une forme silencieuse et développée de la relation entre les deux enfants. Le dialogue entre les deux enfants renfonce la compréhension de l’autre relation silencieuse qui est celle de l’homme et du cheval.

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Top 100 de l’American Film Institute

Le top 100 de l’American Film Institute est un classement des cent meilleurs films américains de l’histoire du septième art qui a été établi par l’American Film Institute en 1998 et mis à jour en 2007. C’est le premier d’une série de classements annuels de 100 films dont le critère est renouvelé chaque année.                   http://www.afi.com/100Years/movies10.aspx

Historique Edward HOPPER

Edward HOPPER est un peintre du vingtième siècle. Il a traversé des changements constants et radicaux dans l’histoire de l’humanité. Pourtant il est resté fidèle à son style naturaliste et à la scène américaine de classe moyenne. Un tableau simplifié résume les travaux de Hopper par rapport aux productions de ses contemporains et aux conflits internationaux.

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Edward HOPPER

Edward HOPPER:                   

Edward HOPPER, graveur et peintre naturaliste de la scène américaine est né en 1882 à Nyack dans l’État de New York. Il travailla également sur des affiches, des gravures en eau-forte et des aquarelles. Une grande partie de l’oeuvre de Hopper exprime le conflit entre la nature et la vie moderne. Ses personnages sont souvent esseulés et perdus.

Il est issu d’une famille modeste de commerçants qui vendaient des articles de mercerie. Il a appris le métier d’illustrateur dans la « New York School of Art ». Pour compléter ses études entre 1906 et 1910, il fait trois séjours à Paris. Il visite également les Pays-Bas, Londres, Madrid, Tolède, Berlin, Bratislava et la Belgique. Il était sûrement à la trace des grands maîtres français, hollandais ou espagnol. Une trentaine de tableaux qu’il a peints en Europe sont réalisés essentiellement à Paris. Il s’agit d’oeuvres mineurs de sa carrière. En 1924, il se marie avec Josephine Verstille Nivison qu’il surnomme « Jo », ils achètent en 1933 une propriété au « Cap Cod » et y construisent un atelier. Continuer la lecture

La face cachée d’un génie

La face cachée d’un génie

(Dark side of genius, the life of Alfred Hitchcock)

(en France: La vraie vie d’Alfred Hitchcock!)

Si tout le monde connaît les films d’Alfred Hitchcock (Les Trente-Neuf Marches, La Mort aux trousses, La Main au collet, Psychose, Fenêtre sur cour, Les Oiseaux…), aucune biographie n’avait évoqué jusqu’ici les liens étroits qui existent entre la vie privée du cinéaste, ses bizarreries, et ses films, ni la genèse singulière d’une œuvre incontournable dans l’histoire du cinéma.

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Des lumières et des ombres

Auteur: Henri Alekan

Edition du Collectionneur

De la Belle et la Bête, de jean Cocteau, aux Ailes du Désir, de Wim Wenders, entre Henri Alekan et le Cinéma, ce sont soixante années d’une histoire d’amour, d’ombres et de lumières. C’est à un véritable Traité de la lumière qu’il nous invite, nous faisant partager une vie de réflexion et de méditation sur la perception au fil des temps de la lumière et de son double, l’ombre, au gré des tableaux qu’il a étudiés et des films qu’il a éclairés et luminés. Un des plus grands directeurs de la photo du Cinéma mondial, éternel jeune homme dont l’art est toujours actuel, nous offre, en un ouvrage devenu un livre culte, sa vision des ombres, des lumières et de leur influence sur le déroulement d’un film, et bien au-delà, de notre vie…  

La Liste de Schindler

Il n’y a pas de doute, dans l’art pictural, non seulement la lumière est le reflet de nos affects mais c’est aussi une manière de jauger et d’interpréter un personnage.

Dans l’Histoire de l’art, Le mot photographie, qui signifie « écrire avec la lumière », existait depuis longtemps, au moins depuis Caravage qui a donné un sens dialectique à ce mot, « clair-obscur ». La lumière symbolise un côté clair, intelligent, positif du personnage. L’obscurité au contraire a toujours eu donné à voir les traits noirs, régressifs et négatifs d’un récit. Chez les Egyptiens, le monde des vivants baigne dans la lumière du soleil tandis que le monde des morts baigne dans les ténèbres. Continuer la lecture